Label: qualité des formations au sein des écoles de conduite

1.2 Les enjeux de la formation

Déroulement de la formation à la catégorie “B” du permis de conduire

Les enjeux de la formation à la conduite

L’automobile est devenue un outil social indispensable pour une très grande partie des jeunes.

Au-delà du plaisir de conduire, l’utilisation d’une voiture est souvent nécessaire pour les études, le travail ou les loisirs. Rouler en sécurité est donc une préoccupation pour tous.

Les conducteurs débutants représentent une part trop importante des tués et des blessés sur la route.

L’effort engagé doit être poursuivi, notamment par le renforcement de l’éducation et de la formation.

Les accidents de la route ne sont pas liés à la fatalité et pour aider les nouveaux conducteurs à se déplacer avec un risque faible de perdre la vie ou de la dégrader, un nouveau programme de formation est mis en place.

L’objectif général est d’amener tout automobiliste débutant à la maîtrise de compétences en termes de savoir-être, savoirs, savoir-faire et savoir-devenir.

Apprendre à conduire est une démarche éducative exigeante.

Le déroulement de la formation

Ce programme se veut une vue d’ensemble, aussi exhaustive que possible, des compétences qu’un conducteur responsable doit acquérir pour ne pas mettre sa sécurité et celle des autres en danger.

Il vous faudra prendre conscience que ce qui est appris en formation doit progresser et évoluer, après l’obtention du permis de conduire, en tenant compte des mêmes objectifs sécuritaires que lors de votre apprentissage.

Vous allez apprendre à manipuler une automobile et à circuler dans différentes configurations, à en connaître les risques et les limites.

Vous allez au travers de ce programme comprendre les règles du code de la route ainsi que l’influence des lois physiques et des aspects psychologiques et physiologiques.

Vous devrez également vous situer personnellement en tant que citoyen dans vos choix de conduite.

Des cours théoriques et pratiques individuels, vous aideront à atteindre les objectifs définis et à personnaliser votre progression. Vos formateurs seront à vos côtés pour vous guider et vous conseiller.

Des tests de connaissances et de capacités pourront être mis en place au fur et à mesure.

Afin de disposer de repères, quatre grilles de progression accompagnent l’élève dans l’acquisition des compétences. Elles détaillent les savoirs comportementaux, techniques et environnementaux dont doit disposer l’élève conducteur au fur et à mesure de son évolution.

Pour chacun des objectifs de votre programme, des évaluations mises en place par vos formateurs, qui vous préciseront les critères et les conditions de réussite, sont prévues. Il vous sera possible ainsi de mesurer votre réussite ou d’apprécier les éléments à faire progresser.

De même, pour chacun des objectifs, qui impliquent la conscience que vous aurez de vos capacités, de vos motivations et de vos limites, des auto-évaluations sont à votre disposition sur chacune des quatre grilles.

Lorsque l’ensemble des compétences requises sera validé, vos formateurs pourront alors vous présenter aux épreuves du permis de conduire.

Comment se déroule l’examen théorique ?

Pour passer l’épreuve du code (ETG), il faut avoir au moins 15 ans.

Pour réussir cette épreuve, il faut obtenir au moins 35 bonnes réponses sur 40 questions (5 erreurs maximum). Une réponse est considérée comme juste si toutes les propositions exactes ont été validées. Parmi les 40 questions auxquelles vous devrez répondre, certaines sont en vidéo. Pendant le déroulé de la vidéo, pensez à évaluer l’intervalle de sécurité et à regarder tous les rétroviseurs. Le jour de l’examen, pensez à apporter votre pièce d’identité et votre convocation. Votre code est valable pendant 5 ans.

Comment se déroule l’examen pratique ?

L’épreuve pratique de l’examen du permis de conduire est évaluée par un expert : l’inspecteur du permis de conduire et de la sécurité routière.

Le jour de l’examen, l’épreuve vous est présentée individuellement par l’expert, qui vous précise ce que vous allez devoir faire :

Réaliser un parcours empruntant des voies à caractère urbain, routier et/ou autoroutier ;

Suivre un itinéraire ou vous rendre vers une destination préalablement établie, en vous guidant de manière autonome, pendant une durée globale d’environ cinq minutes ;

Réaliser un freinage pour s’arrêter avec précision et réaliser une manœuvre en marche arrière ;

Procéder à la vérification d’un élément technique à l’intérieur ou à l’extérieur du véhicule, répondre à une question en lien avec la sécurité routière et à une question portant sur les notions élémentaires de premiers secours ;

Appliquer les règles du code de la route, notamment les limitations de vitesse s’appliquant aux élèves conducteurs ;

Adapter votre conduite dans un souci d’économie de carburant et de limitation de rejet de gaz à effet de serre ;

Faire preuve de courtoisie envers les autres usagers, et notamment les plus vulnérables.

L’évaluation réalisée par l’expert est basée sur des textes réglementaires et instructions précises qui en fixent les modalités.

Cette évaluation consiste en un bilan des compétences nécessaires et fondamentales devant être acquises pour une conduite en sécurité, car la conduite est un acte difficile qui engage une responsabilité forte.

L’expert s’attache à valoriser vos acquis comportementaux plutôt que vos faiblesses. Il réalise ainsi un inventaire des points positifs et des points négatifs restitués par rapport à une compétence donnée. Un échange entre l’expert et vous peut s’instaurer au cours de l’épreuve.

À l’issue de l’épreuve, l’expert retranscrit de façon formelle ce bilan de compétences dans une grille d’évaluation.

1.3 Réglement intérieur

  • Vous devez respecter le matériel de l’auto-école.
  • Toute violence verbale ou physique envers le personnel de l’auto-école ou des inspecteurs entraînera le renvoi immédiat de l’auto-école sans aucun remboursement.
  • Seuls les élèves de l’auto-école sont admis dans la salle de code et dans les voitures de l’auto-école.
  • Les cours de code et de conduite ne pourront être dispensés à tout élève se présentant dans un d’ébriété ou dans un état similaire dû à l’absorption de diverses substances interdites. Celui-ci se verra malgré tout dans l’obligation de régler sa leçon.
  • Nous nous dégageons de toute responsabilité en cas de perte ou de vol dans l’auto-école.
  • Il est interdit de fumer et de manger dans l’auto-école.
  • En cas de restitution de dossier, toute prestation effectuée sera due.
  • Toute formation est valable 6 mois. Passé ce délai, les sommes engagées seront perdues et l’élève devra repayer sa formation (sauf cas particulier).
  • Toute heure de conduite non décommandée 48 heures à l’avance (jour ouvrable) sera due.
  • Les heures de conduite ou toute autre prestation dues devront être réglées une semaine avant le passage à l’examen.

1.6 Promouvoir un rendez-vous post-permis

Depuis de nombreuses années, l’école de conduite développe une approche préventive visant à sensibiliser et à former l’ensemble des usagers de la route. L’auto-école défend le principe qu’une éducation et une formation spécifique sur le comportement des futurs usagers et des usagers de la route a une influence bénéfique sur les jeunes conducteurs.

A ce titre l’école de conduite propose :

Des stages ayant reçu le label « FORMATIONS POSTPERMIS-SECURITE ROUTIERE », initiés par l’État depuis 1999 en partenariat avec les assureurs et les professionnels de l’enseignement de la conduite qui s’adressent à deux publics différents :

1 – LES CONDUCTEURS NOVICES : sous la forme d’un rendez-vous d’évaluation, après l’obtention du permis, basé sur le volontariat ; les stages s’inscrivent dans une démarche préventive qui vise à réduire leur sur-risque d’accident. Après un début d’expérience de la conduite, il est important de pouvoir soutenir la formation par une approche par thématiques comme les limites de ses aptitudes, les différences de perception, les enjeux de risque et responsabilité.

2 – LES CONDUCTEURS EXPERIMENTÉS : sous la forme d’un rendez-vous de perfectionnement, basé sur le volontariat. Ces stages répondent à un besoin de perfectionnement de la conduite. Il s’agit de permettre une actualisation des connaissances générales sur la signalisation, l’infrastructure, les règles de circulation et de favoriser la prise de conscience des facteurs de risque (vitesse, alcool, fatigue…).

Les formations sont assurées par des professionnels de l’enseignement de la conduite. Le label « FORMATIONS POSTPERMIS-SÉCURITÉ ROUTIÈRE » est lié au respect d’un cahier des charges et à la formation spécifique préalable de l’animation des stages.

Le stage s’effectue sur une journée complète mais peut aussi être scindé en différentes séquences. Le nombre de participants par stage ne peut excéder 12 participants. Le stage comporte une phase d’évaluation de la conduite des stagiaires et une phase d’animation. Lors de la première phase, chacun des participants conduit à tour de rôle avec le formateur et une première évaluation est faite. La seconde phase consiste à amener les stagiaires à appréhender leurs propres représentations relatives à la sécurité routière et aux dangers et situations à risques en circulation.

1.7 Valoriser l’apprentissage AAC ou CS

La conduite accompagnée, ou apprentissage anticipé de la conduite (AAC) permet aux jeunes dès 15 ans d’apprendre à conduire avant l’âge requis pour passer l’examen officiel du permis de conduire. Cet apprentissage anticipé offre de nombreux avantages, notamment en terme de coût et d’expériences de la route.  À noter qu’un conducteur issu d’une formation AAC a plus de 75% de chances d’obtenir son permis de conduire

Conduite accompagnée : comment ça se passe ? 

La conduite accompagnée débute obligatoirement par l’obtention du code de la route. En parallèle, l’élève suit une formation de conduite classique en auto-école. Une fois en poche, l’élève doit effectuer au minimum 1 ans avec son ou (ses) accompagnateurs. Mais attention ! Ne peux pas être accompagnateur qui veut 🙂 La ou les personnes choisies doivent être titulaires du permis B depuis au moins 5 ans, sans interruption et ne pas avoir commis de délit routier !

Au cours de la période de conduite accompagnée, l’auto-école prévoit 3 rendez-vous pédagogiques obligatoires : 

  • Le 1er en présence de l’apprenti, de son accompagnateur et son formateur avant de débuter la conduite accompagnée pour assurer une formation homogène et continue 
  • Le 2nd a lieu entre 4 et 6 mois après la date de délivrance de l’attestation de fin de formation initiale
  • Le 3ème a lieu à l’issue des 1 an minimum après la date de délivrance de l’attestation de fin de formation initiale

Une fois ces étapes passées, le candidat peut se présenter à l’examen du permis de conduire dès ses 17 ans.

Conduite accompagnée : quels avantages ? 

Faire le choix de la conduite accompagné, c’est opter pour une formule aux avantages multiples !

Des tarifs avantageux

Les formations de conduite accompagnées sont très souvent moins onéreuses que les formations d’apprentissage à la conduite traditionnelle. L’avantage tarifaire va également au-delà de la formation, puisque une fois le permis en poche, les assurances proposent des formules « jeunes conducteurs » à des tarifs préférentiels pour les jeunes issues de l’apprentissage anticipé de la conduite. 

Une expérience significative 

La phase d’apprentissage dans le cadre de la conduite accompagnée permet au conducteur d’acquérir une très bonne expérience de la route qui va lui permettre de multiplier ses chances de réussite à l’examen du permis de conduire et également de diminuer les risques d’accidents.  

Une période probatoire réduite ​

Lorsqu’un conducteur obtient son permis de conduire, il bénéficie de 6 points quelle que soit la voie via laquelle il l’a obtenu. Ce qui change avec la conduite accompagnée, c’est la durée de la période probatoire qui est réduite à 2 ans au lieu de 3. Chaque année sans infraction va en effet permettre au jeune conducteur d’enregistrer 3 points supplémentaires sur son permis de conduire. 

Conduite accompagnée : les règles à respecter 

  • L’élève doit apposer un disque « conduite accompagné » à l’arrière du véhicule qu’il conduit
  • Le livret d’apprentissage doit toujours se trouver à bord du véhicule, ainsi que l’autorisation de l’assurance
  • Le conducteur doit respecter les mêmes limitations de vitesse qu’un conducteur novice

Promouvoir la Conduite Supervisée


La conduite supervisée s’adresse aux candidats de plus de 18 ans inscrits dans une école de conduite. Ils peuvent ainsi compléter leur formation initiale par une phase de conduite accompagnée.

Quels en sont les avantages ?

  • Vous allez acquérir un maximum d’expérience et de confiance au volant avant l’examen pratique !
  • Comparé à la filière traditionnelle, le coût total de la formation est souvent moins élevé.
  • Si vous avez échoué une première fois à l’épreuve pratique, vous allez continuer à consolider vos acquis à moindre coût.
  • Les contraintes sont plus souples que pour la conduite accompagnée, puisqu’il n’y a pas de période minimum à réaliser.

Promouvoir la Conduite Encadrée

La conduite encadrée s’adresse aux jeunes préparant, dans les établissements de l’éducation nationale, les diplômes professionnels menant aux métiers de la route (BEP ou CAP de conducteur routier).

Accessible dès 16 ans, cette formule s’effectue pendant une formation scolaire et permet aux élèves d’améliorer leur niveau de compétence jusqu’à l’obtention du permis de conduire à 18 ans dans le cadre de leur diplôme.

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page du site de la Sécurité Routière relative à la conduite encadrée.

2.2 Décrire le positionnement et le procédé d’évaluation ainsi que les prises en compte du handicap

Procédé de positionnement et d’évaluation

I. Le positionnement de l’évaluation

Avant chaque début de formation au sein de notre établissement, nous procédons à une évaluation dynamique ou un bilan dynamique afin de proposer à l’élève le meilleur cursus de formation possible et pouvoir, le cas échéant, l’orienter vers une structure qui lui sera adaptée. Notre structure n’étant pas adaptée pour les personnes présentant un handicap moteur impliquant des aménagements de véhicules, nous attachons beaucoup d’attention à orienter l’élève chez un confrère qui pourra l’accueillir et répondre à ses difficultés.

A. L’évaluation initiale est réalisée en amont de toute formation.

Elle est réalisée par le biais de l’interface LIVRET DRIVE, évaluation réalisée sur un support numérique et d’une durée d’une heure (annexe 2.2).

 Le nombre d’heures potentielles est estimé en fonction de cette évaluation que nous réajusterons suivant l’avancée du candidat dans cette formation.

B. Le bilan dynamique est un point de situation réalisé lorsque l’on accueille un élève qui a débuté sa formation dans un autre établissement et qui s’adresse à nous pour la terminer. 

Dans ce cas, l’enseignant s’appuie sur le livret de conduite et sur la fiche de suivi (si la précédente école de conduite l’a restitué), ainsi qu’une partie pratique sur route afin de proposer un parcours de conduite qui lui permettra d’évaluer le niveau de l’élève et le nombre d’heures restant à effectuer.

  1. La prise en compte du handicap

Au sein de notre structure la prise en compte du handicap s’effectue à deux niveaux : – Handicap ou trouble cognitif – Handicap ou trouble moteur. 

Nous nous appuyons sur un entretien (en toute discrétion).

A. Handicap ou trouble cognitif

Afin de permettre au plus grand nombre d’accéder à la mobilité, nous avons mis en place plusieurs dispositifs concernant les élèves présentant des troubles cognitifs. Dans un premier temps, conscients que ce type de trouble implique un temps de réflexion et d’analyse allongé, nous avons mis en place des cours adaptés.. Lors de ces cours, l’enseignant adapte son discours et ses exercices aux difficultés des élèves, avec une décomposition plus précise des objectifs et des thématiques abordés.

B. Handicap ou trouble moteur

Pour les élèves atteints d’un trouble moteur, nous distinguons des possibilités :

– trouble léger n’impliquant pas un aménagement du véhicule

– trouble lourd impliquant un aménagement du véhicule

Notre structure n’étant pas adaptée aux troubles lourds, nous orientons automatiquement l’élève vers une structure qui possède tous les équipements adaptés à sa pathologie.

En revanche, dès lors que la pathologie de l’élève ne nécessite pas d’aménagement, nous lui dispensons la formation pratique sur une boîte automatique.

3.1 Définir les modalités d’organisation des formations théoriques et pratiques

Modalités d’organisation des formations théoriques et pratiques

Une évaluation de départ afin de déterminer le nombre d’heures moyen et le coût de la formation.

Par la suite, nous vous proposons un parcours spécifique :

Une formation théorique

 Préparation à l’épreuve théorique générale (ETG) par l’apprentissage des règles via le livre de code et un suivi individuel réalisées chaque semaine par l’enseignant Sébastien Mary.

Les cours théoriques peuvent s’effectuer en simultané des cours pratiques, à la demande du client et sous nos conseils.


 Une formation pratique

Elle comprend la mise en situation de la théorie et l’application du programme de formation pratique suivant :

Programme de formation détaillé
Compétences généralesCompétences
1. Maîtriser le véhicule dans un trafic faible ou nul Formation pratique hors circulation sur parking ou lieu privé, formation théorique Connaitre les principaux organes et commandes du véhicule, effectuer des vérifications intérieures et extérieures Entrer, s’installer au poste de conduite et en sortir Tenir, tourner le volant et maintenir la trajectoire Démarrer et s’arrêter Doser les accélérations et les freinages à diverses allures Utiliser la boite de vitesses Diriger la voiture en avant en ligne droite, en courbe en adaptant allure et trajectoire Regarder autour de soi et avertir Effectuer une marche arrière et un demi-tour en sécurité
2. Appréhender la route et circuler dans les conditions normales. Formation pratique dans des conditions normales de circulation, en agglomération de taille moyenne. Rechercher la signalisation, les indices utiles et en tenir compte Positionner le véhicule sur la chaussée et choisir la voie de circulation Adapter l’allure aux situations Détecter, identifier et franchir les intersections suivant le régime de priorité Tourner à droite et à gauche en agglomération Franchir les ronds-points et les carrefours à sens giratoire S’arrêter et stationner en épi, en bataille en créneau
3. Circuler dans des conditions difficiles et partager la route avec les autres usagers Formation pratique hors agglomération sur voie rapide et en agglomération en circulation dense. Evaluer et maintenir les distances de sécurité Croiser, dépasser et être dépassé Passer des virages et conduire en déclivité Connaitre les caractéristiques des autres usagers et savoir se comporter à leur égard avec respect et courtoisie S’insérer, circuler et sortir d’une voie rapide Conduire dans une file de véhicules et dans une circulation dense Conduire quand l’adhérence et la visibilité sont réduites Conduire à l’abord et dans la traversée d’ouvrages routiers tels que les tunnels, les ponts, les passages à niveau
4. Pratiquer une conduite autonome, sûre et économique Formation pratique sur tous types de routes. L’acquisition de l’autonomie s’effectue par des exercices pratiques en autonomie durant les cours et ou par un voyage école.  Suivre un itinéraire de manière autonome Préparer et effectuer un voyage longue distance en autonomie Connaitre les principaux facteurs de risque au volant et les recommandations à appliquer Connaitre les comportements à adopter en cas d’accident : protéger, alerter, secourir Faire l’expérience des aides à la conduite des véhicules Avoir des notions sur l’entretien le dépannage et les situations d’urgence Pratiquer l’écoconduite

7.4 Décrire les modalités de traitement des réclamations de toutes les parties prenantes

Identification du problème :

étape 1 :
Exposition des faits
Qui sont les acteurs des faits ?
De quels faits parlons-nous précisément ?
Dans quel Lieu est apparu le problème ?
A quels moments s’est manifesté le problème ?
Combien de cas sont concernés?

étape 2 :
Exposition des conséquences
Quelles sont les conséquences ?
Pourquoi ces conséquences ?

étape 3 :
Exposition de la situation satisfaisante voulu
Quel est la situation satisfaisante souhaitée?

étape 4 :
Recherche des causes
Quelle est la cause première ?
Pourquoi ?
Le pourquoi doit être décliné 5 fois afin de ne pas s’arrêter sur la première cause proposée

étape 5 :
Recherche et mise en œuvre de la solution
Quelles solutions peuvent être proposées ?
Quelles sont les solutions possibles ?
Comment mettre en œuvre le solution ?
Mise en œuvre de la solution

étape 6 :
Mesurer l’efficacité de l’action corrective
Période d’observation
Investigation pour vérifier si le problème de se reproduit pas